TIBI or not TIBI

Coucou !

Les deux semaines suivant mon anniversaire n’ont pas été de tout repos, et je me suis permis ce petit hiatus de quelques jours pour retrouver mes esprits. Je vous rappelle que mon rabais de fête de 35 % pour mes 35 ans est toujours disponible (jusqu’au 1er mai) et qu’un(e) de vous deviendra l’heureux(se) propriétaire d’un miroir FLO de Found en vous abonnant juste ici :

Dans les dernières semaines, j’ai dû me plonger dans la création de moodboards pour appuyer des discussions concernant des projets très excitants (dont vous serez évidemment les premiers et premières mis(es) au courant) à venir. Le fait d’être à la conjoncture de plusieurs projets créatifs en ce moment m’a vraiment obligée à vulgariser et défendre mon identité créatrice, ce qui, en toute honnêteté, m’a un peu fait paniquer. Une belle panique, on s’entend. Une sorte de panique à la fois vulnérabilisante et galvanisante. Me questionner sur ce qui définit mon style et rend mes propositions créatives uniques et collées sur ma personnalité a été un exercice indispensable et formateur. Mais j’avoue que ça m’a donné le vertige. Un jour, je savais exactement où je m’en allais, et le lendemain, je remettais tout en question. Et puisque je suis choyée d’être entourée de gens qui souhaitent concrétiser ma vision de la manière la plus fidèle possible, j’ai le luxe de jouir d’une vraie liberté (mettons qu’on oublie les budgets, lol) et ainsi d’avoir un plein contrôle sur le rendu final, ce qui rend les décisions encore plus difficiles. Comment faire des choix qui resteront pertinents au fil du temps tout en étant actuels, qui reflètent parfaitement ma personnalité tout en demeurant accessibles et sans tomber dans le générique? La question responsable de tous mes tourments! Cette périlleuse — mais nécessaire — réflexion m’a menée vers de multiples conclusions, dont une que je redoutais particulièrement: